Monday, 25 July 2011
Revue Archéologique
Nouvelle Série
7 (1866), 13 (Jan.-Jun.) (Galica)
7 (1866), 14 (Jun.-Dec.) (Gallica)
8 (1867), 15 (Jan.-Jun.) (Gallica)
8 (1867), 16 (Jun.-Dec.) (Gallica)
16 (1875), 29 (Jan.-Juin) (I.A.)
16 (1875), 30 (Juil.-Dec.) (I.A.)
Monday, 24 May 2010
From the Bosporous to the Adriatic – French Photographers discover the monuments of the Balkans
One of the most important monuments of Thessalonike, the Rotonda, opens its gates to host an exhibition of photographs from the beginning of the 20th century entitled “From the Bosporous to the
The 180 black and white photographs, dated from 1878 to 1914, where captured with the lenses of French photographers. Temples, markets, Muslim mosques and other monuments from Greece, Turkey, Albania, FYROM, Serbia, Croatia, Montenegro, Bulgaria and Bosnia-Herzegovina where captured photographically composing a “journey of the common in the Balkans”, as the director of the Museum of Photography of Thessalonike and member of the organising committee, Vaggelis Ioakimides said.
The works cover five historical periods of the countries of South-Eastern Europe. The first concerns monuments of antiquity, the second Byzantine buildings, the third is linked to the architecture influenced by the Venetians along the Dalmatian coast, the fourth is dominated by Oriental perfumes, while the fifth discusses the meaning of the term city.
“This exhibition shows the possibility of photographs to capture facets of places that are today lost”, underlines mr Ioakimides.
The exhibition is a production of the National Centre for Historical Monuments of
It was co-organised by the French Institute of Thessalonike, the
The exhibition will be inaugurated on Friday 28th May and will last till the 31st July. It will then travel to other Balkan Countries.
Source: Kathimerini.gr, 20.05.2010
Note: For more information about the Museums mentioned in the text, see here.
Venue: Rotonda-Church of St. George (tel. 2310968860)
Opening Hours: Tue-Sun 08.00-19.00
Duration: 28.05.2010-31.07.2010
Monday, 29 March 2010
L'empire mystérieux de Méroé au musée du Louvre
Près de deux cents oeuvres, dont la moitié proviennent du musée de Khartoum, sont présentées jusqu'au 6 septembre par le Louvre, qui a ouvert son premier chantier de fouilles au Soudan en 2007.
L'occasion de découvrir une civilisation méconnue qui s'est développée le long du Nil entre le IIIème siècle avant J.-C. et le IVème siècle après J.-C. et qui est "un exemple de multiculturalisme parfaitement réussi", souligne Guillemette Andreu, directrice du département des Antiquités égyptiennes au Louvre.
Héritière des "pharaons noirs" qui avaient conquis l'Egypte au VIIIème siècle avant notre ère, la civilisation méroïtique s'est développée en empruntant des traits culturels à l'Egypte pharaonique, à la Grèce puis à Rome, venus s'ajouter à un substrat africain.
"Ces influences très fortes ont fini par engendrer des productions culturelles, une écriture, des systèmes religieux totalement reconnaissables", souligne Mme Andreu, commissaire de l'exposition.
Installé dans le "pays de Kouch", dans la moyenne vallée du Nil, cet empire qui avait pour capitale Méroé (220 km au nord de l'actuelle Khartoum) s'est créé "une identité propre", tout en s'inspirant des grands mondes antiques qui l'environnaient, relève Mme Andreu.
Aujourd'hui on en connaît surtout les pyramides qui servaient de nécropoles aux souverains. Imitées des pyramides égyptiennes, elles sont nettement plus petites et leur pente est plus raide. Mais leur magie est intacte.
L'exposition, qui rassemble des objets prêtés par le Soudan mais aussi par des musées anglais, allemands et néerlandais, permet de découvrir une civilisation raffinée, très hiérarchisée, avec une monarchie puissante.
Le roi, guerrier infatigable, est souvent représenté comme un lion qui ne déteste pas dévorer ses ennemis ligotés.
Il y aussi "le roi archer", une très belle statue en bronze doré datant du IIème avant J.-C., exemple spectaculaire de la maîtrise des métaux par les méroïtes.
Le pouvoir peut échoir aux reines, les "candaces", parfois représentées en chefs de guerre. C'est une candace qui, vers l'an 25 avant J.-C., boute Rome hors des frontières de l'empire Méroé.
Polythéiste, le royaume a des dieux d'origine égyptienne comme Amon, souvent représenté en bélier. Ou Osiris, comme le montre un magnifique gobelet à décor peint et doré représentant des scènes d'offrandes au dieu des morts.
Apademak, lui, est un dieu local, chasseur et guerrier redoutable. Son épouse a un visage scarifié et des formes plantureuses. Le dieu grec Dionysos a également sa place dans le panthéon méroïte.
L'écriture reste en partie mystérieuse. L'Empire méroïte, qui connaissait l'égyptien ancien et savait l'utiliser, a choisi d'être inventif. Il s'est doté de deux systèmes graphiques de 24 signes chacun, l'un hiéroglyphique (pour les textes religieux) et l'autre cursif.
Chaque signe équivaut à une syllabe. Depuis un siècle, on sait lire cette écriture mais on ne sait pas encore la comprendre. Récemment, le chercheur français Claude Rilly a progressé en allant écouter des langues parlées entre le Tchad et l'Erythrée, à la recherche d'indices. L'exposition présente une stèle qu'il est parvenu à traduire.
("Méroé. Un empire sur le Nil" jusqu'au 6 septembre. Musée du Louvre.
Catalogue coédité par le Louvre et Officina Libraria. 288 pages. 360 illustrations)
Source: AFP/Le Parisien
Monday, 22 March 2010
Saturday, 20 March 2010
Tuesday, 23 February 2010
Le Cabinet des Médailles et Antiques
Le Cabinet des Médailles et Antiques est un musée de premier plan intégré à la Bibliothèque nationale de France, rue de Richelieu à Paris. Il abrite des trésors nationaux (trésor de Childéric, trône de Dagobert, échecs "de Charlemagne", etc.) et des trouvailles archéologiques françaises et étrangères. Enrichi jusqu'à nos jours de nombreux dons, il constitue une des plus importantes collections au monde de vases grecs, pierres fines et monnaies, mais aussi marbres, bronzes, ivoires...
Et pourtant, le projet de "rénovation du quadrilatère Richelieu" prévoit sa disparition ! Sous quel prétexte ? La direction de la BnF ne le dit pas. Mais très bientôt le millier d'oeuvres exposées ne sera plus accessible au public.
Pour nous aider à sauvegarder le musée, n'hésitez pas à signer, diffuser l'information autour de vous, nous contacter... et venir visiter :
Le Cabinet des Médailles et Antiques est un musée de premier plan intégré à la Bibliothèque nationale de France, rue de Richelieu à Paris. Il abrite des trésors nationaux (trésor de Childéric, trône de Dagobert, échecs "de Charlemagne", etc.) et des trouvailles archéologiques françaises et étrangères. Enrichi jusqu'à nos jours de nombreux dons, il constitue une des plus importantes collections au monde de vases grecs, pierres fines et monnaies, mais aussi marbres, bronzes, ivoires... Et pourtant, le projet de "rénovation du quadrilatère Richelieu" prévoit sa disparition ! Sous quel prétexte ? La direction de la BnF ne le dit pas. Mais très bientôt le millier d'oeuvres exposées ne sera plus accessible au public. Pour nous aider à sauvegarder le musée, n'hésitez pas à signer, diffuser l'information autour de vous, nous contacter... et venir visiter : http://www.cabinetdesmedailles.net/Association_pour_le_Cabinet_des_medailles/Accueil.html